Quand on a mal au ventre, au coeur, à la tête, à l'âme, aux dents, à la vie, certains prennent du doliprane, de la morphine, du fentanyl ou un anti-dépressif et la douleur reflue. Le problème est que, suspendue, elle retombe et la souffrance revient, augmentée de celle du manque de l'analgique. Un cercle vicieux s'installe. Il peut être fatal. La peine est double. D'autres utilisent un calmant mental. Sado-masos, ils font de la douleur une bénédiction céleste qui leur rappelle que le paradis doit se gagner à coups de sacrifices, de mortifications, de contritions comme disent ceux qui n'ont rien compris à l'esprit des évangiles.
Je recommande une troisième méthode , inoffensive, non intrusive, inclusive, économique, disponible sans ordonnance, je vous la donne en mille : affectez une indifférence absolue et, vexée, la souffrance ignorée s'évanouit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire