Chaque matin, au réveil, après une nuit passée à rêver, à cauchemarder, ou à dormir, on se réveille, la conscience chasse l'inconscience et pose deux interrogations: que faire, que penser ??
La première option interroge le corps et lui demande s'il est prêt à se fatiguer en travaillant avec ses mains et en se fatigant physiquement. Une réponse positive signifie que votre personnalité a une dominance corporelle et que vous êtes né sous le signe de la charrue attachée à un bœuf. Votre idéal de vie est le repos qui suit un travail épuisant. Vous souffrez aussi de la pathologie du même nom et risquez les maladies (MP) et les accidents (AT) des professions concomitantes. Elles sont soit latentes, en cours d'installation, soit patentes et indemnisables. Rassurez-vous, une fois installées, elles durent peu et vous ne souffrirez pas longtemps.
La deuxième est privilégiée par les intellectuels (ils n'ont pas le choix, étant inaptes physiquement de par leur nature).Elle concerne l'intelligence naturelle du cerveau. La fonction est dominante et son activité remplit de livres les librairies et les bibliothèques, occupe les esprits dans les laboratoires de recherche, les artistes dans leur ateliers, sur les planches ou devant une caméra.
Aucune des deux réponses n'apporte la tranquillité à ceux dont c'est le graal. Pour la quérir, il leur suffit de refuser de se poser la question et de replonger dans l'inconscience en suivant l'exemple de la majorité.
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