Vous connaissez ou du moins n'êtes pas sans savoir le soin et l'attention que porte la modération de ce blog à son contenu. Soumis à une charte contraignante tout en restant fidèle à l'esprit des lumières, nous scrutons, épluchons et n'autorisons une publication qu'après des réflexions kilométriques. Ainsi et de la sorte, le texte suivant a été lu, analysé et est passé sous les fourches caudines d'un panel de responsables du sexe nouvellement fort et anciennement faible afin d'avoir ou non son quitus. Il comprenait, entre autres, une sociologue spécialiste de la société du spectacle, une doctoresse en droit très avertie de la jurisprudence et en tant qu'avocate des mœurs contemporaines, une fine connaisseuse du secteur médical dans toutes ses composantes, une enseignante ayant exercé son sacerdoce dans plusieurs pays, en diverses langues et à des populations particulièrement difficiles du fait de leur origine différente. Leur accord salué par des applaudissements a été unanime. Dans leurs attendus, ces dames et une demoiselle ont ajouté que le travail fouillé, bien documenté et excellemment écrit du cynique méconnaissable car pour une fois modéré, équilibré, pondéré, pouvait être mis dans toutes les mains et qu'il intéressera aussi bien la jeunesse en train d'apprendre à lire que le vieillard qui vient de retrouver la vue après son opération de la cataracte.
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