Le moteur qui pousse les choses à se faire sont par ordre alphabétique: l'amour, le besoin, le devoir, la force, le goût, l'habitude, le hasard, l'intérêt, l'obligation, la stupidité. Le choix est vaste et il est intéressant d'examiner les facteurs qui le conditionnent.
La classe sociale joue un rôle important dans la motivation à l'origine de la chose et elle variera selon qu'elle est bourgeoise, ouvrière, paysanne On parlera pour l'ecclésiale, la politique, l'aristocratique de castes.
D'autres facteurs comptent: le sexe, l'âge, la nationalité, le pays résidentiel, la période de l'année, le jour de la semaine, l'heure de la journée, le métier, le niveau éducationnel (bac + ou bac-), l'état des finances, mental et moral (pour le bipolaire, la phase dépressive ou la maniaque), les circonstances (état de guerre ou de paix).
Cet aperçu succinct des facteurs qui interagissent au moment fatidique de la prise de décision explique les retards, les atermoiements, les hésitations, le refus des gens conscients ou intelligents. Les conséquences sont considérables, les deux principales sont que quantité de choses ne sont pas faites ou mal. Mais ce temps est révolu et dorénavant on dispose d'un outil plus performant qu'une équipe d'analystes formée à la London Business School. Il prend en compte tous les facteurs en cause et donne le pourquoi et le comment en moins de 5 minutes avec le détail des effets positifs et négatifs à court, moyen et long terme de la chose sur l'ordre national, international et mondial.
PS: l'outil non nommé est l'IA de dernière génération et qui a déjà rendu obsolètes les métiers de conseillers à la prise de décision, les médecins, les avocats, les juges, les comptables, les notaires, les traducteurs, les professeurs en attendant tous les autres.
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