Ceux qui ont porté Macron au pouvoir, il y a 7 ans ne décolèrent pas. Ils avaient cru choisir le bon numéro. Encadré, propulsé et présenté comme l'homme providentiel, la petite merveille sortie du néant, une banque en l'occurence, allait faire les miracles que le monde attendait. Ils mirent à son service la grosse artilleries et le firent flamber par leurs médias interposés ( journaux, radios, télévisions, justice, rumeurs, désinformation). L'opposition laminée, il conquit le pouvoir facilement et suivit la feuille de route fixée par ses sponsors. Leurs impôts fondirent, leurs richesses bondirent. Ils étaient aux anges. L'investissement était gagnant. Et là, patatras, Trafalgar, un coup de folie, une blessure narcissique, disent les psys, il dissout sans crier gare, pour épater ou emmerder son monde disent ceux qui le connaissent. Il sème le vent et récolte la pagaille. Il devait composer avec une Chambre de députés difficile, maintenant elle est impossible. Et ceux qu'il a rallié et fait élire, la gauche radicale, veulent la peau de ceux qui l'avaient fait président. On comprend leur colère et leurs tourments. Une fois de plus , César avait raison, on est trahi par les siens.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire