Il y a le chercheur d’or qui bâte le sable de la rivière, le
chercheur du trésor de Jacques de Molay qui fouille dans les archives de l’Ordre
des Templiers, sonde les murailles de leurs châteaux, creuse le sol des
souterrains de leurs bastions, il y a le cherche-fortune qui s’exile dans un pays de cocagne où il suffit de vouloir pour avoir, le chercheur du CNRS
qui se creuse la cervelle pour y découvrir le concept, le principe, l’idée, la
solution.
Il
y a ceux qui cherchent une terre d’asile, un toit, un repas, une pièce.
Il
y a ceux qui cherchent la connaissance, la sagesse, la paix, la tranquillité, l’extase,
le paradis dans un couvent, un monastère, un ashram, une thébaïde. Ils
pourraient avoir tout ça, tout de suite, en mourant maintenant, proprement,
gentiment, et, en prime, le repos éternel.
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