La vie est difficile pour:
- l'assassin innocent,
- le dompteur peureux ,
- le politicien honnête,
- le boucher végétarien,
- le curé athée,
- le marin au mal de mer,
Pour la rendre plus facile, il leur suffirait de
- changer d'avocat,
- dresser des puces savantes au lieu de tigres féroces,
- démissionner,
- devenir fleuriste,
- défroquer,
- passer de l'eau salée à l'eau douce.
Mais c'est eux qui voient.
Celui qui n'a pas d'idées n'a pas celle d'en demander une à ceux qui en ont.
Pour être dans de beaux draps et bien dormir, essayez la soie doublée de pashmina.
Il y a des personnes dont le choix a une durée de vie limitée. Plus ou moins vite, ils en changent pour un autre qui tôt ou tard subira le même sort. Même bon, il deviendra un concentré de tout ce que la terre a de mauvais. L'origine de ce désamour programmé tient à la versatilité, au manque de profondeur, au besoin de changement ou à que sais-je encore.
Elles se font leur propre bourreau car ce qu'ils ont choisi puis rejeté font d'eux des abandonnés qui se retrouveront un jour seuls, rejetés.
Plaignons-les, prions pour eux, ne les pleurons pas: ils sont dangereux pour eux et les autres.
La foi est la façon rationnelle de transformer le produit de ses rêves, de son désir, de son imagination en une réalité qui devient une vérité le temps qu'on y croît
Aujourd'hui, les inquiets de nature sont heureux. Ils sont comblés avec toutes ces raisons d'être inquiet.
Quand je soustrais ce que j'ai dans mon porte-monnaie, mon porte-feuille, mon bas de laine, ma tirelire, mon compte en banque ce que je dois au percepteur, au banquier, à mon carreleur, je suis content d'avoir une retraite en terre cuite.
On a beau avoir l'expérience de l'ancienneté, on continue jusqu'au bout à faire des choix désastreux, à prendre des décisions calamiteuses et à préférer les mauvaises solutions. Une preuve de plus que l'homme est une erreur de la nature.
Vivant, on passe par les états de veille et de sommeil. Mort par celui de cadavre et de squelette. Il faut attendre le dernier pour acquérir de la stabilité.
Je préfère garder mes défauts et ne pas avoir les qualités qui me manquent car je ne me reconnaitrais pas et que j'aime celui que je suis.
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Il faut se laisser vivre, c'est ça ou mourir.
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L'envie de dormir stimule le sommeil quand il tarde à venir.
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La parole est faite de mots en l'air.
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L'important dans l'accessoire, c'est le principal.
Jésus n'a pas eu de chance de tomber dans une telle famille. Dès sa naissance, il était sur la paille et plutôt que de mourir comme tout le monde dans un lit, il finit sur une croix. Ce destin tragique est de la responsabilité d'une mère abusif qui avait dédaigné, selon les ragots, un mari réputé complaisant et succombé aux beaux dires d'une sirène angélique qui aurait été diligentée par le vrai père, un seigneur très puissant résidant au loin. Peu intéressé par le fiston, occupé ailleurs, ce père indigne l'abandonna à son funeste sort quand le moment de sa mort programmé de longue date pour satisfaire une politique étrange et qui nous est restée incompréhensible acheva une bien triste vie.
Conclusion: la digestion a beaucoup de besoins et le reste peu.
- l'optimiste: brillant,
- le pessimiste: sombre,
- le vieux: noir,
- le jeune: flamboyant,
- le communiste: rouge,
- le socialiste: rose,
- le français patriote: bleu-blanc-rouge.
Moi, je le vois en arc en ciel, de toutes les couleurs.
Remplir le chèque en blanc qu'on reçoit à la naissance nous fatigue tellement qu'à la fin on n'a plus la force de l'encaisser.
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J'aime bien les réflexions idiotes qui ne font pas rire ceux qui cherchent à les comprendre.
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On se connait tellement bien qu'on n' a pas besoin de réfléchir pour savoir ce qu'on va dire.
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Je me demande ce que je ferai si je ne le savais pas.
Quand un appareil, une maison, une voiture etc. ont un vice de construction, le fabricant est tenu pour responsable. Il doit réparer le produit, est passible des tribunaux en cas de faute grave. L'enfant est un produit des parents, il peut souffrir d'une tare héréditaire qui le rend incapable de parler, de marcher, de penser. Même apparemment normal, il peut devenir un vaurien, un voleur, un violeur, un escroc, un assassin. Sa responsabilité est engagée mais aussi celle des géniteurs. Il lui ont donné leur exemple d'un couple désuni, séparé, coléreux, inculte, lâche, hypocrite. Ils s'en sont débarrassés en le livrant à une éducation nationale incapable de lui apprendre à lire, à écrire, à réfléchir, à penser, à travailler, un métier. Ils l'ont laissé jouer à des jeux où il passait des heures à tuer de façon frénétique des monstres ou des combattants auxquels il s'identifie et qu'il deviendra. Ils n'ont pas trouvé regrettable de le laisser regarder la pornographie graveleuse qui s'étale sur l'internet familial et qui le rendra incapable de rêver et d'aimer. Trop occupés, trop paresseux pour lui faire à manger, ils l'ont habitué à manger des pizzas surgelés, à bouffer au McDo des saloperies qui lui ruinent la santé, le rendent obèse et l'enverront très tôt au cimetière impotent, bouffi, obèse, diabétique, gangréneux, gâteux.
Quel avocat qui ne soit pas marron, quelle ONG qui ne soit pas occupée à faire de l'argent sur le malheur des pauvres, quelle belle conscience, quelle grande âme qui discourent à la Curie ou à l'académie des sciences morales et politiques fera le procès de ces parents indignes d'avoir un enfant et les enverra où ils devraient être. Ces pauvres créatures ne devront compter que sur eux et faire une action de masse devant les tribunaux s'ils étaient capables de réfléchir, de penser, de critiquer, de se regarder. Ils ne le peuvent pas, de naissance, et les salauds et les salopes qui les ont mis au monde peuvent dormir tranquilles et continuer à enfanter.
L'apparence est trompeuse puisqu'elle met au dernier rang de la faune fermière un bon-à-manger les restes, à être confiné dans une bauge et à finir saigné à blanc en boudins alors qu'l lui suffirait de prendre une douche, d'être opéré des sinus, de vivre sur un parquet ciré, de manger dans une assiette creuse une alimentation équilibrée pour trouver une forme élancée de faux-maigre, de sentir bon, d'être propre et poli. Parce qu'il est, biologiquement, spirituellement et physiologiquement avec le chimpanzé, notre cousin germain, il mérite de remonter dans l'échelle de la société et d'être placé au rang qu'il mérite, derrière le fermier et la fermière.
Si le silence avait la parole, il n'aurait rien à dire.
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Je censure les impressions dont l'expression pourrait me choquer.
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La faiblesse du fort en thème est sa nullité en mathématiques.
La terre est trop pacifique, trop bonne pour se révolter de la façon qu'on la traite. Les hommes lui volent ses pierres précieuses, son or, son argent. Ils la creusent pour la dépouiller de ses biens :le charbon, le cuivre, le fer. Ils arasent ses montagnes, brulent ses forêts ou en font des copeaux. Ils tuent ses hôtes des prairies et des bois. Ils la martyrisent à coups de grenades, d'obus, de bombes atomiques, de feux d'artifice, du crash des avions. Ils la ponctionne de son huile, de son essence. Ils s'acharnent sur elle en la polluant, la salissant, l'enlaidissant de leur usines chimiques, de leurs gratte-ciel grotesques, de verrues monumentales.
Elle n'a plus la force de se défendre et ne peut que pleurer en faisant tomber la pluie. Elle frisonne de peur et fait alors trembler les hommes. Bêtes et méchants, ils rient de ses souffrances, s'en moquent et s'ils font semblant de s'apercevoir de son état, de prendre quelques résolutions ils s'empressent de les oublier. Cela suffit à leur donner bonne conscience et ils continuent à surconsommer, à s'empiffrer, à voyager, à produire, à construire, à se multiplier, à la saigner, à l'assassiner.
Si les traits dominants de l'espèce humaine n'étaient pas la bêtise et la méchanceté, elle serait l'exception qu'elle croît être.
Pour être optimiste, je regarde la nuit s'éclaircir le matin, à l'est. Je sais que le soleil va illuminer ma journée.
On n'échappe pas au rhumatisme. Il est aigu dans la jeunesse, chronique dans la vieillesse.
On a une idée fragmentaire de l'éternité avec le temps entre deux anniversaires et une autre de l'infini avec l'espace entre deux stops.
Il ne faut pas s'attacher à ce qui ne le mérite pas, il ne reste plus assez d'attachement pour ce qui le mérite. Pour l'important, c'est pareil.
Pour conclure sur une note charitable le post d'hier "LE DRAME", j'ajoute:
Il faut pardonner à tous ces mystificateurs. Ils sont irresponsables et victimes d'une aliénation à leurs hallucinations psychiques, psychologiques, comme tous les croyants. Ils ne savent pas ce qu'ils font car ils ne savent ce qu'ils sont. Leur vie corrompue par les trahisons, les mensonges, les promesses non tenues, perdue en discours, réunions, commissions est une punition terrible....
Si on avait en tête tous les mots du dictionnaire, est-ce qu'on aurait davantage d'idées?
Si on pouvait résister à la tentation de tout faire, on serait tranquille et on pourrait passer le temps à faire des choses sérieuses consacré à celles qui ne le sont pas.
Les gens antipathiques le deviennent au second abord. Au premier, ils peuvent paraître sympathiques.
Si on avait les réponses aux questions, serions-plus ou moins malheureux?
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Les réponses sont parfois mauvaises, la question n'est jamais fausse même si elle n'est pas bonne.
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On ne pose pas toujours la bonne question pour éviter d'avoir une réponse que l'on n'aimera pas.
Le plus extraordinaire (il est insurpassable) est celui de Jésus. Il s'est cru le fils adoptif de Dieu qui aurait été en mal d'être père! Pris au jeu et au mot, il pensa, parla, agit comme tel. Il en convainquit tellement qu'ils fondèrent une religion, établirent une église. D'autres que lui eurent la même prétention, firent la même démarche avec plus ou moins de succès.
Bonaparte, né Buonaparte, fils d'indépendantistes corses, débarqua en France, fit sa conquête, devint consul à vie, se prit pour un empereur à l'égal d'Alexande, de César qui eux-mêmes!!! Se croyant plus grand qu'il n'était, il eut sa Bérézina puis tomba à Waterloo et partit planter des choux à Sainte Hélène.
Louis XIV, fils de Louis XIII se crut le roi Soleil. Pour resplendir autant, il se voulut magnifique, construisit Versailles, s'entoura d'une cour de courtisans pour se faire admirer. Il n'était pourtant qu'un fils à papa, orgueilleux, prétentieux, vindicatif, dépensier avec l'argent des autres et n'hésitant jamais à jouer avec leur vie en les envoyant se faire tuer à son passe-temps favori, la guerre.
Aujourd'hui, en politique, ils sont innombrables ceux qui se croient faits pour gouverner. Ils sont pour la plupart des fonctionnaires, des avocats, des enseignants, sont passés par une école dont ils sont sortis grandis. Ils savent discourir avec les éléments de langage appris, faire une synthèse des idées du jour, être porteur des valises d'un mentor bien placé. Une fois en place, ayant pris le recul qui permet de bien sauter, ils se jettent dans le cirque médiatique en se donnant les airs du grand futur chef de l'État dont ils se parent déjà des ailes. Ils savent leur avenir assuré même s'ils ne gagnent pas le gros lot. Ils se consoleront avec un secrétariat d'État, un ministère quelconque, pantoufleront dans la mairie d'une métropole provinciale, au conseil d'État, à la cours constitutionnelle, une ambassade, à une commission à Bruxelles, comme médiateur, au CNC, dans un des fromages de la République (tunnel sous le mont blanc, ambassade des pôles etc...). Leur prétention, leur comédie leurs mensonges sont tellement énormes qu'ils sidèrent la foule des spectateurs, leurs futurs victimes, qui les applaudissent, votent pour eux, les élisent, les réélisent. Il y en a très peu qui pleurent de joie quand ils disparaissent.
Attention, plus on enfonce le clou, plus on a de mal à l'enlever.
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En en faisant pas assez, on est sûr de ne pas en faire trop.
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L'entraînement à la vieillesse commence au sein de sa mère.
Le laid a sur le beau un désavantage en nature.
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L'ennemi de la pointe Bic n'est la concurrence mais la pesanteur.
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L'astronome interroge les étoiles, l'asrologue les fait parler.
Toutes les belles et bonnes idées qui font les théories ont le bien pour essence et projettent de nous convertir au communisme, au socialisme, au capitalisme, au mysticisme, au libéralisme, à l'anarchie, à l'écologisme, au féminisme, etc.... Le problème est qu'elles dégénèrent dès qu'elles passent à la pratique et
-le communisme enfante le goulag, la nomenklatura, Staline, Mao et les morts par centaines de millions.
-le socialisme engendre Guy Mollet, Mitterrand, Hollande, Hidalgo,
-le catholicisme donne l'inquisition, l'imprimatur, les palais épiscopaux, les guerres de religion,
-l'islamisme aboutit aux talibans, à l'intifada, à la burka, à la charia,
-le libéralisme apporte la richesse aux plus forts, la pauvreté aux plus faibles,
-le capitalisme débouche sur les gafas, les sub-primes, les hedge funds, les krachs, la spéculation,
-l'écologisme aboutit aux éoliennes, à la guerres de clans, à la surenchère,
-le féminisme conduit à la guerre des sexes.
Les belles et bonnes idées ne devraient jamais quitter la boite de Pandore et y rester confinées à jamais. Elles ne s'épanouissent que dans les livres. La liberté les dévoie. Elles perdent toutes leur séduction et tombent dans l'horreur car le propre de l'homme est de trahir toutes ses bonnes et belles idées. Il les transforme en idées laides et mauvaises qui répandent le mal car sa vertu ne fait pas le poids devant ses vices .
Même si on ne voit et n'entend qu'eux, les cons et les connes restent minoritaires.
La liberté fait notre différence. Nous ne chassons pas en meute et quand l'homme le fait, il meurt à la guerre. Certains pourtant acceptent de la perdre et ils défilent au pas cadencé, s'enrôlent dans des milices, s'inscrivent à un parti, se réunissent dans des temples, des églises, des mosquées, des synagogues pour psalmodier, se prosterner, prier. Ils se rassemblent et ne ressemblent plus à l'être libre qu'ils étaient en entrant.
Notre égalité n'est pas la même que celle de la termite, de l'abeille, de la fourmi. Nous en avons besoin pour vivre en paix avec les autres qui nous sont inférieurs ou supérieurs. Cela est difficile car ils sont plus intelligents, plus grands, plus forts ou plus bêtes, plus faibles, plus petits. Les plus deviennent riches, puissants, indépendants, les moins pauvres, faibles, dépendants. La seule égalité que peut revendiquer le paresseux, le peureux, l'idiot face à tous ses opposés qui sont travailleurs, courageux, futés est l'égalité que lui donne la légalité.
La fraternité suppose que l'on se sente responsable de l'autre comme on le serait de son frère. Le vœux est beau mais comment faire quand il se conduit en irresponsable , fait tout pour se nuire, n'accepte pas les conseils ou est votre ennemi ?
La société devient incontrolable et sombrera dans le chaos car elle refuse la liberté de penser au nom de l'égalitarisme. Elle veut l'égalité pour tous en créant un communautarisme généralisé qui détruit la fraternité et met dans des ghettos qui se font la guerre au nom de leur différence.
aux philosophes, la philosophie,
aux charpentiers, la charpente,
aux idéologues , les idées,
à la ménagère, le ménage,
à l'écrivain, l'écriture,
etc...,
moi, pour ne pas interférer, je fais la sieste.
Avec sa manche à l'air, le manchot sent le vent tourner.
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L'absence d'idées n'empêche pas de penser (souvent à rien).
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Je revends ce que j'ai acheté pour financer mes économies.
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Il faut respecter les gens respectables, à l'exception de ceux qui n'entrent pas dans cette catégorie.
Ceux qui meurent avant de connaître le futur, c'est-à-dire tout le monde, échappent à ses horreurs.
Seul un sadique comme moi, dit le cynique, peut jouir , à sa démesure, du plaisir d'un tel combat perdu d'avance par un adversaire qui n'a pour répondre que des idées préconçues, reçues, fixes.
Ne perdez pas votre temps à convaincre quelqu'un qui ne vous aime pas de son erreur, rendre intelligent est impossible.
Est-ce que les sensations, les sentiments qui font que l'on est heureux ou malheureux, que l'on trouve la vie bonne ou mauvaise et que l'humanité éprouve en 2021 sont les mêmes que ceux que ressentaient nos ancêtres des premiers âges?
En question subsidiare, est-ce que la physique quantique, le cyclotron, l'économiseur ont apporté le petit plus qui rend meilleur ou le grand moins qui rend pire?
Donnons la réponse que personne n'attend et qui est dans la question , est-ce que les arts derniers sont supérieurs aux arts premiers?
La recherche est gratifiante quand l'objet est trouvé.
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Si le temps passait moins vite, on s'ennuierait davantage.
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Il y a une relation linéaire entre le volume d'air déplacé par l'obèse et le poids de ce qu'il ingurgite.
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Le politicien sait que la réalité a une force que n'ont pas ses promesses.
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