Je ne survis que parce que j'ai les moyens de m'entretenir. Radin, esclavagiste, capitaliste, mon patron ne me donne rien en échange du travail dont il m'accable: je tonds sa pelouse, fais son potager, taille ses haies, cueille ses framboises, récolte ses pommes et pas un kopek ni un remerciement. Un beau salaud. J'attends le grand soir avec impatience en chantant en silence l'Internationnale...
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