Il n'y a pas que les ruminants qui soient des usines à gaz à effet de serre, les hommes (et les femmes) sont aussi des méthaniseurs ambulants. Leurs boyaux sont des digestats où fermentent les matières organiques qu'ils ingurgitent à longueur de repas. Ils produisent, comme les vaches, du méthane, de gaz carbonique, du sulfure d'hydrogène qu'ils relarguent en permanence par le haut et le bas.
Quand on multiplie l'émission quotidienne d'un quidam aux 8 milliards des autres, on comprend que le pets des quadrupèdes ne sont pas les seuls à vouloir du mal à l'air que nous respirons.
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