La haine des sexes et plus particulièrement celle que développe actuellement la femme pour l'homme naît, à retardement, du désir mimétique qu'elle éprouve de lui ressembler pour le punir d'un passé vu comme une éternité de servitudes. Prendre sa place et l'écraser à son tour est vécu comme une revanche, une punition, une compensation. Une machine infernale s'est mise en route et elle échappera dans un troisième temps à celles qui ont appuyé sur l'accélérateur. L'histoire va continuer sa trajectoire et les responsabilités vont venir à l'ordre d'un prochain jour. Il deviendra évident que la gente féminine est l'unique responsable, le chaînon indispensable de l'insécurité et du désordre mondiaux en étant la pourvoyeuse de cette humanité infame. Elle seule fabrique des monstres qui, adultes, feront de l'autre sexe ce qu'elles leur reprochent et dont elles veulent les punir. Cela est , en réalité, parce qu'elles ne sont pas capables, par paresse, par ignorance, par perte d'instinct, par distraction, par indifférence ou je ne sais quelle raison de suivre l'exemple des autres femelles qui, en quelques semaines, font de leur progéniture des êtres responsables, obéissants, indépendants, connaissant les lois de la jungle et capables de vivre en paix avec leurs semblables dans l'harmonie et les plaisirs conjoints. En voulant des enfants pour assouvir une envie, un désir, un besoin, au choix, elles acceptent implicitement les devoirs, les contraintes, les obligations qui vont de pair. L'homme, un mammifère comme les autres, n'a pas ce rôle mais que l'obligation de tout mâle de pourvoir en nourriture et en sécurité.
Il faudra attendre que l'étape actuelle ait sombré dans la violence, le chaos, le désordre pour que l'évidence explose. Le mal sera fait, irréparable. L'humanité aura disparu pour le plus grand bien de la nature. Il faut seulement espérer qu'elle n'aura pas eu le même destin.
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