Il se fait sentir très tôt.
À 20 ans, le sprinter de 100 mètres s'effondre sur la ligne d'arrivée, le cœur à 250.
À 40 ans, le marathonien termine, moribond, les muscles tétanisés et s'écroule. On l'emporte sur une civière.
L'octogénaire, quand il fait 1 kilomètre à bonne allure est à bout de souffle, de force.
À chaque fois, l'âge a frappé, de plus en plus fort. La récupération est de plus en plus longue.
Imaginons le poids des ans à 120 ans. Il est 6 fois fois plus grand qu'à 20 ans. Qui pourrait survivre au moindre effort?
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