Un climat froid incite à rester chez soi, un chaud donne la bougeotte.
Donc, me dit mon ennemi le cynique, "pour calmer la fièvre migratoire africaine, il suffirait de refroidir un peu la température. Rien de plus facile avec un parasol géant, en vol géo-stationnaire, au bon endroit, à 10 000 kilomètres. Il ne laisserait passer que la quantité d'ultra-violets et d'infra-rouges nécessaires à la survie des espèces. Avec un climat proche de celui de l'Allemagne ou du Danemark, chacun resterait chez soi".
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