Celui qui vécu un calvaire toute sa vie doit attendre sa mort pour enfin être heureux, débarrassé de tous ses mauvais souvenirs. Il part sans regret. Ouf, dit-il.
Le bienheureux qui n'a eu que du bonheur et n'a que des bons souvenirs atteint le jour de sa mort dans la plus grande affliction et connaît enfin le malheur. Aïe, pleure-t-il.
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