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« Dans l’ordre ou le désordre ?
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« J’aime pas les pacifistes qui préparent
la prochaine, les bellicistes qui veulent la paix faute de combattants, les
maoïstes, les trotskystes, les lepénistes, les sectaires, les idéologues, les
bobos, les gogos.
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J’aime pas marcher au pas, le garde-à-vous, ramer
dans le sens du poil, croire à l’incroyable.
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J’aime pas les chasseurs, les pêcheurs, les
beaux parleurs, les grands seigneurs, les apparatchiks, la nomenklatura, les directeurs
de conscience, de cabinet, l’énarchie qui prépare l’anarchie, les arrivistes,
les opportunistes, le professeur Joyeux, les politicards, les cumulards, les
pubards, les trouillards, les flemmards, les tièdes, les mous, les flasques,
les sérieux, les papes, les mollahs, les rabbins, les mères abusives, les fils
à papa, les pères de famille nombreuse, les sans idées sur rien, ceux qui ont
réponse à tout.
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J’aime pas les sermons, les discours, les
cortèges, les défilés, les comités, les commissions, les mariages, les enterrements,
les dortoirs, les réfectoires, les mouroirs, les abattoirs.
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J’aime pas le sale temps, la mauvaise humeur, le
dernier quart d’heure ».
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« Vous aimez qui ?»
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« Elle, la seule, l’unique…»
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« Et quoi ? »
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« L’écho… »
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« À votre tour, si vous aimez ça… »
Que viennent faire le directeur de cabinet et de conscience dans votre liste ?
RépondreSupprimerFantomas
Le directeur de cabinet accepte un poste trop nauséabond pour être honnête : il passe le papier et tire la chasse. Pouah ! Quant au dirlo de conscience, il se prétend assez grande conscience pour en donner une bonne à ceux qui se la croient mauvaise ou qui n’en ont pas. Fort de sa belle (faconde, façade, soutane, prestance, audience) et d’un grand culot, il dit connaître tout du bien, du beau, du mal, du vrai, du faux. Moitié Pic de la Mirandole, moitié gourou, il connaît la bonne direction, la sienne.
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