Tous les malheureux qui pâtissent de l'insécurité sociale devraient bénéficier de la commisération nationale et faire l'objet d'une amnistie générale qui les protégeraient du préjudice qui menace leur intégrité à court terme. Il s'agit principalement ( par ordre analphabétique):
- des cancéreux en fin de rémission,
- des condamnés à mort au moment de l'exécution,
- des bi-polaires en phase dépressive,
- des suicidaire en instance de passage à l'acte,
- des drogués tentés par une over-dose.
Ils recevraient ainsi la reconnaissance de leur mérite et une considération respectueuse à la mesure de leur courage à surmonter le danger auquel ils ne survivront pas.
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