Si les artistes-paysagistes qui brillent au festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire voyaient le mien, ils seraient consternés. Comment se peut-il qu'un fidèle de la première heure (1992), nourri de tant d'exemples peut n'avoir que quelques rosiers rachitiques entourés de capucines anémiques, un parterre de pâquerettes leucémiques parsemé d'orties domestiques et de pissenlits sauvages. Je suis navré pour eux mais j'ai la main verdâtre.
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