Penser, écrire, parler sont des opérations plus difficiles qu'elles ne paraissent . Il faut trouver les bons mots et les agencer selon une règle qui respecte les recommandations, en fait des ordres, de l'orthodoxie grammaticale et de sa complexité syntactique, les subtilités orthographiques. Il ne faut pas confondre les synonymes, les homonymes, les paronymes, les antonymes. Éviter les barbarismes, les solécismes, les anglicismes, les néologismes, ne pas tomber dans les répétions, le piège du plagiat, ne pas abuser des citations, employer à bon escient le plus-que-parfait du subjonctif et le passé deuxième forme du conditionnel, respecter le chapeautage par l'accent circonflexe , le grave et l'aigu et faire sentir la petite nuance qui différencie le h muet de l'inspiré.
La maitrise d'une langue, ici le français, mais qui peut être n'importe laquelle suppose donc de la discipline, de la suite dans l'idée obsessionnelle qui doit habiter le désireux de l'apprendre par cœur. Un aperçu des facilités agrémentant son apprentissage devrait l'aider .
NB : nous parlerons du mandarin impériale dès que nous achèverons de le maîtriser, ce qui devrait tarder, car une langue qui se parle avec des idéogrammes exige une habilité manuelle, digitale et linguale difficile à acquérir pour quelqu'un de naturellement gauche.
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