Ceux qui ne savent pas quoi faire de leur temps de vivant l'occupent en voyageant et à attendre l'avion, le train, le bus, le taxi, le bateau, le plat suivant. Ils continuent de le perdre en regardant les gens vaquer, les nuages passer, en se baignant.
Leur ennui là-bas est le même qu'ils ont ici, chez eux. Il est interchangeable et consubstantiel à une âme qui émigre à la plante des pieds faute de substance grise dans un cerveau plein de trous blancs.
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