Fort de notre héritage judéo-chrétienne, d'une culture du pardon acquise dans les confessionnaux, je propose à la ministre de la Justice d'en revenir aux fondamentaux évangéliques de notre pays et de requalifier les fautes graves passibles du code pénal et de la correctionnelle en péchés capitaux autrefois dits mortels et de les déférer à un aumônier expert en confession. Il saura donner l'absolution après un acte de contrition et une pénitence en rapport avec la gravité du péché. Elle pourra aller de trois pater et de quatre ave à une retraite de 6 mois dans un couvent de bénédictins ou à une observation stricte du carême.
Cette modification dans l'application des peines devrait résoudre le problème insoluble de la surpopulation carcérale. Les coupables de péchés cardinaux appartenant à une tradition différente seront admissible au même protocole. La punition sera seulement appliquée selon ses modalités propres mais toujours basée sur un substrat religieux qui élèvera l'âme au lieu de l'abaisser à une cérémonie barbare incompatible avec l'essence divine dont même un assassin ne peut se départir.
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