J'ai constaté que les marins de haute mer, habitués des quarantièmes rugissants étaient moins enclins au doute et le supportaient mieux que les terriens adeptes du plancher aux vaches et qui préfèrent la certitude.
Le doute, en effet, crée un sentiment d'instabilité qui donne le mal de mer. On comprend que la résistance des marins au tangage et au roulage soit meilleure.
À vérifier toutefois sur un échantillon représentatif.
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