N'en faire qu'à sa tête suppose que l'on a la volonté de faire, la capacité de penser. Le problème est que l'on est prisonnier de sa bétise, de sa paresse, de sa lâcheté, de son orgueil qui empêche de reconnaître nos faiblesses.
Elles nous rendent impuissantes. Ce n'est pas grave, on ne s'en aperçoit pas, la tête est vide de tout ce qui pourrait la remplir.
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