Je ne sais pas chez vous mais ici l'air a changé: il s'est épaissi, immobilisé, pas un souffle de vent. Il est comme enkysté, ankylosé, encalminé. Englué, on peine à avancer et tout autant à reculer. De plus sans le vent pour évacuer la chaleur, la température monte et à 8 heures, ce matin, on avait déjà 30 à l'ombre. Si elle continue, elle va nous communiquer sa fièvre et nous, à 40, on est proche de l'ébullition. Je vais acheter un ventilo tant que je suis pas complètement enlisé.
PS: aux dernières nouvelles, le sirocco et les alizés auraient disparu.
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