La force de l'âge devrait se situer à la fin de la vie si le temps ne détruisait ce qu'il a construit. Le gisant sur son lit de mort, au contraire, n'en a plus aucune. Il est encore plus démuni que le jour de sa naissance où un réflexe archaïque de préhension lui faisait serrer vigoureusement le doigt avec une main minuscule. Elle est au mitan de la vie, vers la quarantaine sauf pour ceux qui dès le début ont à peine la force de vivre.
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