Le cynique qui n'est pas un misogyne sexiste de bas étage aurait pu ajouter, s'il ne contrôlait pas ses pulsions contradictoires de la façon qui le rend exemplaire pour ceux qui ne veulent pas être comme lui, que l'homme pâtit d'être le mâle d'une femelle qui n'est pas que sa femme mais d'un genre qui assure la fabrication de l'espèce et, une fois sur deux, en moyenne, de lui. Elle en a l'exclusivité et il est le résultat de sa digestion. Elle en assure aussi la mise en circulation. On pourrait espérer qu'elle en garantisse la qualité, la fiabilité. Sa responsabilité est engagée. Qu'en est-il dans la réalité? C'est ce qui défraie l'actualité. L'objet qui est un sujet et qu'elle a manufacturé entièrement et volontairement en parfaite connaissance de l'origine des matières premières se révèle être parfois un monstre, toujours pour certaines, bon à débusquer, à condamner , à enfermer faute de pouvoir s'en débarrasser. Où est l'erreur?
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