La vie est un film permanent en couleur, parlant, en 3 D. Il est rempli, la nuit, par les rêves, des apartés en forme de courts métrages, parfois des cauchemars qui donnent envie de se réveiller.
On fait partie de la distribution sans l'avoir demandé. Le scénario est indigent, on a le mauvais rôle, celui du salaud qui meurt à la fin, dans l'allégresse générale. Le créateur reste anonyme, elle lui garantit l'impunité et l'indulgence des critiques qui vivent à ses crochets. Le fiasco est de tradition de père en fils dans la plupart des familles. Même sa fin est un enterrement.
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