Il est plus facile de traiter les questions que l'on se pose que celles qui nous sont posées. Dans le premier cas la réponse n'engage que nous et on n'est pas forcé de répondre.
Il en est une qui est plus intéressante que beaucoup d'autres, c'est celle que vous vous posez : "Quel sera mon sentiment dans les instants qui précèdent celui de la mort ? Sera-ce un regret, du chagrin, de la colère, du soulagement, de la curiosité?". De toute façon, vous aurez la satisfaction de le savoir un jour ou une nuit.
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