Les milliards qui ne nous connaissent pas ont tort de nous ignorer, vous et moi. Il font comme si on n'existait pas. Ils se privent non seulement d'une connaissance, de notre forte présence, de notre humour ravageur, de notre santé morale et mentale éclatante, de la délicatesse et de la justesse des propos que nous tenons. Inversement, on est épargnés et nous ne serons pas obligés de souffrir leur grossièreté, leur vulgarité, leur obscénité, leur bêtise, leur laideur et; surtout l'épouvantable odeur que dégage leur personnalité dégoûtante.
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