"La dernière fois que j'ai lu le journal, j'ai failli m'étrangler d'indignation" me révèle le cynique qui n'est pas encore revenu de son émotion. "Scandalisé par les fautes d'orthographe, j'ai résilié mon abonnement pour ne pas risquer de me retrouver dans la position du pendu. Je préfère mourir de mort naturelle, d'indigestion, par noyade ou balle que par strangulation. Le ouï-dire me tient informé sans autre danger que les postillons. "
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