Comme tous les grands athlètes, les superchampions qui se surpassent en permanence, je ne me fixe aucune limite et n'ai pas peur de reprendre du gâteau, de finir la bouteille, de dire le mot de trop, de ne pas me fatiguer à travailler. Il faut savoir abuser pour se faire haïr.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire