Il y a les coups qui sont dus aux chutes, aux pugilats, aux accidents, aux aléas et les chocs psychologiques. Nombreux, variés, on a:
- les chocs esthétiques ressentis devant les lacs étagés de Band-e-Amir, en Afghanistan, Bora-Bora vue du ciel, le grand canyon du Colorado, Gina Lollobrigida dans Pain, amour et fantaisie, le Pariou, l'Etna en éruption, Venise, le Piton de la Fournaise, à la Réunion.
- le choc politique; l'élection de monsieur Trump.
- le choc archéologique: une dent de requin datant du tertiaire dans le falun du chemin qui mène à la grille.
- le choc pâtissier: le macaron angevin de chez Allard, aux Ponts-de-Cé, le mille-feuilles de la Maison de Rabelais, à Langeais.
- le choc littéraire: Les Emmurés de Brussolo.
- etc., etc..
Et puis il y a des rencontres qui sont des traumatismes dont on se souvient, difficiles à surmonter et qui donnent le cafard. Je me rappelle avoir été confronté à la bêtise absolue, à l'orgueil démesuré, à l'avarice étalée, à l'opportunisme affiché, à la paresse, à la méchanceté, à la bêtise, à la bêtise, à la bêtise..., à tous ces cons contents de ne pas se cacher.
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