Hier, j'ai eu une nuit occupée. J'ai d'abord petit déjeuné avec le président et lui ai demandé ce qu'il pensait de l'after du before de la francophonie. Le ministre de l'éducation est arrivé pour finir les croissants et j'ai profité de sa présence pour lui soumettre la suggestion du cynique sur l'épreuve du certificat d'études à faire passer aux enseignants pour les tester, les noter au mérite et, éventuellement, les renvoyer sur les bancs de l'école primaire. J'ai répondu ensuite de façon polie à un détracteur qui voulait m'envoyer aux gémonies. Pour me changer les idées, j'ai envoyé ensuite des roses à une groupie et j'ai embrayé jusqu'à mon réveil par un déluge de pensées profuses pour alimenter la pluviosité ambiante.
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