Ainsi, il aura fallu attendre Trump, ce maudit président, ce pelé, ce galeux pour que la mort de 400 000 américains en 20 ans par les opiacés soit prise au sérieux et déclarée "Urgence sanitaire nationale". Ce que ni Clinton, ni G.W Busch, ni Obama, ce Nobel cultivé, humaniste si éclairé n'avaient vu, pu ou voulu, le pire président que les américains auraient connu en a été capable. Occupés à s'envoyer en l'air, à faire la guerre, à charmer les journalistes, à faire des discours, ils regardaient ailleurs, sourds et muets devant l'hécatombe devant les portes de leur Maison Blanche. Mais ils seront pardonnés et grâce ne sera pas rendu à monsieur le président Trump...
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