Le temps du passage à l'acte n'est pas le même pour tous.
Il y a celui qui anticipe. Il agit préventivement selon l'adage "si tu veux la paix, prépare la guerre".
Il y a celui qui attend que le moment soit venu. Il vit au présent.
Il y a le procrastinateur qui remet au surlendemain ce qu'il aurait dû faire demain. Cette façon est chronique et il récidive à chaque lendemain. C'est la solution de ceux qui ne font rien.
L'idéal est, comme toujours une synthèse récusée par les extrèmistes qui ne veulent que leur solution, celle qui ne fonctionne pas. La formule gagnante est l'action préméditée, réfléchie, préparée. Elle se concrétise aujourd'hui et prouve son efficacité dans l'avenir. Elle dure longtemps.
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