Il ne faut pas
mélanger les torchons et les serviettes me disait mon grand-père maternel qui
avait survécu à la guerre de 14-18. Fidèle à sa mémoire et à sa
philosophie, je préfère un repas de desserts de chez Hermés quand je suis à
Paris ou de mon pâtissier quand je suis chez moi plutôt que d'un céleri
rémoulade suivi d'un bifteck-frites et d'un morceau de camembert.
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