Même enfoui sous les mensonges, le passif sort un jour à la lumière et explose. Mort ou vivant, il ou elle doit rendre des comptes et les crimes, les forfaits, les méfaits, les ignominies sont révélés, étalés, jetés en pâture à un public jusqu'alors abusé. Rien ni personne ne sont à l'abri: les institutions, les religions, les statuts, les rois, les présidents, les dirigeants, les exploitants, les grands mais aussi les petits. La boite de Pandore est ouverte, l'omerta vit de mauvais jours.
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