C’est la faute au mauvais temps, à la tempête, au vent
frisquet, à la pluie et je décline toute responsabilité pour :
1/ L’attaque fielleuse des vœux pieux et autres prières
profanes ;
2/ Un éloge écœurant du diabète sucré, un intermède peu
ragoûtant sur la décrépitude terminale et autres joyeusetés déplacées. Moi-même
je n’ai pas réussi à me relire, sinon tout aurait été supprimé.
J’espère, pour votre santé mentale et morale que vous vous
serez abstenu de ces lignes délétères. Si vous avez succombé à la tentation,
prions pour qu’elles n’aient pas entamé l’euphorie que l’excès de champagne et
autres drogues dures que vous avez surconsommé avait instillé dans votre esprit
malade et qui vous avait convaincu que le bonheur - et surtout la santé
promises pour votre futur immédiat - étaient assurés, du moins sur le papier
des innombrables cartes virtuelles ou réelles reçues.
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