Chère amie, la dernière fois que nous nous sommes vus, vous
m’aviez assuré que vous ne manqueriez pas de m’envoyer des remarques, des
critique, des observations sur ma production. Je suis inquiet de votre silence.
Il n’y a pas eu d’avis de disparition, d’annonce
de rapt, de kidnapping, de suicide collectif dans le canton. Je m’interroge et
me demande si :
-
vous n’en croyez pas vos yeux
-
les bras vous en tombent ;
-
vous êtes muette de stupeur ;
-
vous avez pris les jambes à votre cou ;
-
vous avez mieux à faire ;
-
vous n’y comprenez rien ;
-
on ne vous le fait pas dire ;
-
trop c’est trop ;
-
il vous en faut davantage.
Si c’est ça, je ne suis pas sûr de pouvoir. Merci quand même
de rien.
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