On ne se méfie jamais assez de sa première lecture, de sa première rencontre, de sa première fois. Qu'elle soit bonne ou mauvaise, méfiance. Dans les deux cas, il fait attendre le deuxième essai, la troisième expérience, voire la quatrième tentative pour prendre la bonne décision. La première impression manque de l'instant de réflexion qui permet de critiquer le moment de curiosité du premier abord.
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