Un printemps avec des tonnes d'eau à l'are, du jamais vu depuis le déluge, disent les anciens. Quelques exclamations, quelques lamentations, quelques réclamations (que fait le gouvernement?) de la part des inondés, mais aucune interrogation des autorités météorologiques, ecclésiastiques au sujet de ces crises de larmes à répétition.
Sous le prétexte facile et fallacieux que les nuages nous cachent le ciel, ils ne cherchent pas (les autorités autorisées) à en savoir davantage: crises de nerfs, burn-out, scènes de ménage à répétition, etc., etc..
À quoi cela nous prépare-t-il ?
Parler de grosses dépressions chroniques des Açores ne me satisfait pas plus que vous.
Si on nous prend pour des imbéciles, ce qui ne m'étonnerait pas et même si c'est vrai, ça n'explique pas le pourquoi de ces cataractes qui ont usé aussi bien les parapluies que la patience de tous les humidifiés.
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