Le malaise que crée le nez bouché provoqué par le coryza, le rhume des foins et de cerveau est, pour une petite part secondaire à la difficulté de respirer par la voie habituelle mais sa principale cause est plus haute. J'apporte l'explication que personne n'avait trouvée.
Le malaise est en réalité un mal-être provoqué par les pensées produites en flux tendu qui ne peuvent plus évacuer leur lieu de production suite au bouchage des trous de la lame criblée de l'ethmoïde par l'oedème provoqué par l'inflammation qui accompagne la rhinite. L'ethmoïde est un petit os de la base du crane, le seul qui le fasse communiquer avec le monde extérieur par sa face trouée. Elle se situe malencontreusement dans la toiture des fosses nasales . Elles est donc au contact du rhume et sa victime avec les cornets.
Le cerveau est, malheureusement en raison de son enveloppe osseuse, non dilatable. Les pensées ou, à défaut, les idées s'entassent, ne pouvant plus sortit par les trous bouchés. La pression augmente, pesant sur les méninges et provoque ce malaise général qui empoisonne la vie, rend irritable, provoque des bagarres dans les couloirs des Samu et une grève générale des urgentistes en colère, car le rhume est contagieux.
Un éternuement providentiel ou un mouchage énergique peut déboucher quelques trous, permettant aux pensées sous pression de s'échapper. Malheureusement ,l'oedème monte la garde, ferme la voie et le processus continue jusqu'au prochain éternuement qui reste aléatoire . Le mouchage est souvent insuffisant car la lame criblée est peu accessible aux courants d'air de l'expiration forcée de l'enchifrené qui, de plus, n'est plus en possession de tous ses moyens, le malheureux étant soumis à un combat idéologique intra-cérébral qui échappe à tout contrôle.
En réalité depuis la découverte par le plus grand savant du monde du traitement-minute du rhume, le cerveau en est moins victime . Il n'y a que les opposants à la vaccination qui en souffrent. Victimes consentantes de rhumes trop fréquents et de son hypertension idéologique concomitante, ils souffrent de dégâts irréparable qui nem'intéressent pas.
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