Si l'homme, au lieu de marcher dans ses chaussures était enraciné, il s'alimenterait par les pieds. Sa physiologie et son écologie auraient été différentes et on peut imaginer les conséquences.
Obligé pour se déplacer de sortir les pieds de la terre et de les mettre en pot, il marcherait à la vitesse d'une limace. La sève remplacerait le sang et il respirerait par les cheveux qu'il porterait longs. Seuls les persistants auraient survécu.
L'art de vivre de l'humanité aurait été bouleversé. Devenu le voisin des arbres et des arbustes, il en aurait compris les problèmes et, dépendant de la nature du sol, il aurait été moins sauvage avec elle qu'en marchant dans des chaussures et en gardant les pieds sur terre.
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