La saga hollywoodienne MEN IN BLACK n'était pas fictionnelle mais inspirée de faits réels. Les extra-terrestres sont parmi nous. Seuls les aveugles ne les voient pas.
Ils surprennent par leur aspect étrange. Rasés ou chevelus, ils sont le plus souvent énormes, difformes. Pachydermiques, ils avancent lourdement, pesamment, péniblement, soufflant, ahanant. Manifestement, ils viennent d'une planète à basse pression. Pour se fondre dans l'ambiance, ils se vêtent comme nous mais ils se font remarquer car leur volume déplace tellement d'air qu'ils empêchent leurs voisins de circuler.
Ils dérangent par leurs mœurs déroutantes. Elles associent une individualité basée sur l'égotisme à une socialisation qui leur fait partager les plaisirs. Ils se proclament solidaires et vivent dans la solitude. Ils ne se reproduisent pas, n'ont pas de morale, de religion, de politique, refusent la discipline et sont prisonniers de la mode, de rites, de drogues, de sons, d'images, de slogans.
Leurs langage est incompréhensible. Ils se parlent à distance pour ne rien dire. Ils répètent ce qu'ils ont entendu. Ils ne savent pas écrire et ne lisent pas. D'où ils viennent, les mots ne doivent pas avoir de sens et les émotions, les sentiments, des produits acquis sur catalogue.
Leur alimentation est bizarre. Elle ne vient pas de leur cuisine qui n'est qu'un décors. Ils mangent une nourriture industrielle en prévenance de congélateurs qu'ils ingurgitent en vitesse, debout, sans arrêt.
Ils se comportent d'une manière qui contraste avec celle des humains de souche. Ils n'ont pas repris nos habitudes de dormir pour se reposer des fatigues du jour consacré à travailler pour gagner de quoi manger, se vêtir, se cacher la nuit dans une maison et pouvoir dormir etc.. Eux ont des apnées du sommeil durant le jour qu'ils consacrent à manger pour satisfaire un appétit qui leur tient lieu d'occupation afin de conserver des forces qui leur permettent de regarder ceux qui vont payer les allocations et les séjours à l'hôpital occasionnés par le poids des aliments qu'ils ont pris et pas régurgités.
Heureusement, les extra-terrestres sont de passage. La terre n'est pas faite pour eux, elle ouvre trop leur appétit. Soit ils périront, victimes de leur gloutonnerie, se détruisant par incapacité de s'autoréguler, soit ils repartiront chez eux ou ailleurs, nous laissant avec nos propres phénomènes, des clones très ressemblants aussi peu appétissants et qui auront la même fin.
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