Les faussaires ne sévissent pas seulement dans les billets de banque et les Picasso, on en trouve partout. On a ainsi le cavalier qui se prend pour un chevalier, le politicien qui se vante d'être un homme d'État, le père qui affiche des airs de pater familias, l'agrégé de philosophie qui a une marche socratique, le pape qui se croit inspiré par le saint Esprit. En fait, dans la réalité, on se prend tous pour un autre, meilleur. L'idiot du village est le seul à ne pas se prétendre moins bête qu'il n'est.
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