Son sujet, paysage ou visage, sortait du cadre et se projetait dans l'espace. Peint en trois dimensions, son relief le rendait vivant. On s'attendait à voir couler l'eau, s'agiter les feuilles, gronder l'orage, sourire la demoiselle. Son tableau sortait du mur. Le regarder, c'était y entrer.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire