Tout court à sa perte, même quand il prend la fuite pour y échapper.
Honneur à l'homme, dernier arrivé, il ne sera pas le dernier à partir avant la fin.
Il a des excuses, entouré de mauvais exemples qui, au lieu de thésauriser, ne font que perdre tout ce qui avait de la valeur. La perte est universelle et l'on a la litanie de la perte de la morale, des bonnes manières, du respect, du bien d'autrui, de l'orthographe, de la grammaire, de l'écriture, de la lecture, du grec et du latin.
Ce qui ne se perd pas pas se détériore, se délite, se fane, s'évapore, s'écroule, s'évente etc., etc...
L'effet est contagieux et, comme les autres, j'y succombe: je perds mes cheveux, mes clefs, la mémoire, mes amis, le sommeil, la vue, l'ouïe baissent et je perdrais mon chat si la faim ne le ramenait pas à la maison.
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