C'est parce que les mots sont beaucoup plus nombreux que les gestes qu'ils sont dangereux. À part le coup de l'éventail du bey d'Alger en 1827 qui entraîna la conquête de l'Algérie et quelques assassinats, l'histoire a peu de gestes aussi meurtriers que les maux provoqués par des paroles. On ne compte plus les guerres qu'elles ont provoquées et ce qui s'en est suivi.
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