La responsabilité des couleurs n' a jamais été dénoncée dans le réchauffement. Elle est évidente. Je démontre.
"Merci, Dancharr."
"Ne m'interrompez pas, laissez-moi développer, vous applaudirez à la fin.
D'abord les coupables: le blanc et le rouge.
Le blanc est connu depuis toujours comme étant un repoussoir du chaud. Il se porte en burnous au Sahara ou en soutane chez les pères blancs, seul moyen de supporter leur exil africain.En rejetant la chaleur dans l'air ambiant, le blanc y fait monter le thermomètres. On lui doit 1 degré Celsius en moyenne cumulée durant l'hiver et 1,65 durant l'été (à notre latitude).
Le blanc est connu depuis toujours comme étant un repoussoir du chaud. Il se porte en burnous au Sahara ou en soutane chez les pères blancs, seul moyen de supporter leur exil africain.En rejetant la chaleur dans l'air ambiant, le blanc y fait monter le thermomètres. On lui doit 1 degré Celsius en moyenne cumulée durant l'hiver et 1,65 durant l'été (à notre latitude).
Le rouge a une action encore plus néfaste car il est émetteur de chaleur. Tous ceux qui, timides, rougissent connaissent la vague de chaleur qui empourpre leurs pommettes. Des milliards de calories sont ainsi produites par les timides. Bonjour les dégâts!!!
Mais le rouge est pervers en lui-même. Il n'est pas que le symbole du feu et ce n'est pas par hasard que le fer chauffé est porté au rouge Il est chaud même froid. Il l'est encore plus quand il est poussé au blanc. On parle de duo infernal. Conclusion: il faut éradiquer le blanc et le rouge. L'histoire elle-même nous a prouvé la dangerosité du rouge, couleur incapable de se contrôler. Ceux qui s'en enveloppaient ont très mal fini.
Le noir et le bleu nous réconcilient avec la couleur et elles combattent efficacement leurs sœurs infernales.
Les vertus du noir ont leur terrain de prédilection en Afrique sub-saharienne. Sa population n'a survécu aux chaleurs tropicales que par la grâce de sa couleur. Celle-ci absorbe la chaleur pour mieux la neutraliser. Ce n'est pas une opération du saint Esprit - occupé ailleurs - mais une réaction de type acido-basique. J'en apporte la preuve en rappelant qu'avec des températures de 50 degrés à l'ombre les boshmans du désert du Kalahari conservent une température rectale de 36,7 (bureau Véritas), en dehors des attaques de palu.
Je conseille donc le métissage à outrance des populations blanches et blondes nordiques par les sudistes noirs.
En complément et en attendant, les mines de charbon à ciel ouvert devraient être étendues, l'extraction arrêtée ainsi que la combustion.
Le bleu, dans sa nuance arctique est un émetteur de froid efficace. Il doit être utilisé en remplacement des autres couleur là où l'on doit réfrigérer.
Le problème est celui du stockage du froid pour l'utiliser au lieu et place choisis. Je résous le problème en plaçant un mur noir récepteur devant un mur bleu émetteur.
Cette contribution va -raisonnablement- changer la problématique de la lutte conte le réchauffement. Elle éclaire le problème, ouvre des pistes, apporte des perspectives qui ne vont pas faire plaisir aux chercheurs en vain du CEA, du CNRS, de l'INSERM, d'HARVARD et du laboratoire municipal de Bécon-les-Granits.
Le noir et le bleu nous réconcilient avec la couleur et elles combattent efficacement leurs sœurs infernales.
Les vertus du noir ont leur terrain de prédilection en Afrique sub-saharienne. Sa population n'a survécu aux chaleurs tropicales que par la grâce de sa couleur. Celle-ci absorbe la chaleur pour mieux la neutraliser. Ce n'est pas une opération du saint Esprit - occupé ailleurs - mais une réaction de type acido-basique. J'en apporte la preuve en rappelant qu'avec des températures de 50 degrés à l'ombre les boshmans du désert du Kalahari conservent une température rectale de 36,7 (bureau Véritas), en dehors des attaques de palu.
Je conseille donc le métissage à outrance des populations blanches et blondes nordiques par les sudistes noirs.
En complément et en attendant, les mines de charbon à ciel ouvert devraient être étendues, l'extraction arrêtée ainsi que la combustion.
Le bleu, dans sa nuance arctique est un émetteur de froid efficace. Il doit être utilisé en remplacement des autres couleur là où l'on doit réfrigérer.
Le problème est celui du stockage du froid pour l'utiliser au lieu et place choisis. Je résous le problème en plaçant un mur noir récepteur devant un mur bleu émetteur.
Cette contribution va -raisonnablement- changer la problématique de la lutte conte le réchauffement. Elle éclaire le problème, ouvre des pistes, apporte des perspectives qui ne vont pas faire plaisir aux chercheurs en vain du CEA, du CNRS, de l'INSERM, d'HARVARD et du laboratoire municipal de Bécon-les-Granits.
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