Malgré tout le respect que m'inspirent la philosophie, la religion, la politique, les arts et les sciences et l'importance de leur impact sur notre état d'esprit, je me permets de faire remarquer à ceux qui en douteraient que notre état physiologique qui conditionne notre santé et rend notre corps neutre, indolore, réceptif, actif, sans besoin d'attelles, de prothèses, d'orthèses, de médicaments, de cliniques, de médecins, de SS, de mutuelles a aussi une action directe, immédiate sur celui-là (état d'esprit) et qu'il nous est impossible de maintenir un bon moral, de penser dignement, d'émettre des pensées optimistes et positives en pleine crise de dysenterie amibienne, en proie à un hoquet incoercible ou à l'annonce que l'on est atteint d'un cancer de la tête du pancréas. Autant qu'une réflexion de Spinoza, qu'un livre de Houellebecq, qu'une pièce de Courteline, remarquons qu'un bon repas, une bonne bouteille ou une bouchée de chocolat apportent des satisfactions qui font beaucoup de bien à notre moral. Pour cela et nous tenir à l'abri de beaucoup de maladies, nous devons apporter la plus grande attention à la qualité de nos repas pour qu'ils aient leur juste richesse calorique, un bon équilibre entre les protéines, les glucides, les lipides, le taux adéquat de vitamines, d'oligo-éléments et de sels minéraux. En conclusion, ceux qui voudront, admettront avec nous que la physique et la chimie des particules élémentaires que sont nos cellules ont une influence déterminante sur notre humeur et que nous leur devons respect, honneur si nous voulons la garder en bon état et réfléchir intelligemment et garder le moral.
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