Quand avachi dans un fauteuil, il rêvasse, les yeux mi-clos, il ne donne pas une image très brillante et fait plutôt pitié. Rien ne laisse deviner l'intensité du travail qui mobilise son cerveau, le combat sans merci que se livrent les idées contradictoires, la quantité phénoménale d'énergie que les neurones sont en train de dépenser pour alimenter le débat intérieur qui, il l'espère, lui permettra de conclure le chapitre en cours et qui introduira brillamment le suivant.
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