Ce qui pourrait rendre notre époque crépusculaire, lugubre, déprimante joyeuse, rayonnante, formidable, ce ne serait pas que les dominants soient opprimés, que les pauvres deviennent riches mais que les bavards se taisent, que les fous guérissent, que la politique prenne la bonne direction, que les religions laissent Dieu tranquille, que les gens mangent pour vivre et ne vivent pas pour manger, que le devoir de faire le bien, d'aimer le bon, d'admirer le beau soit enseigné dès le jardin d'enfants. Le reste suivra.
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